Entrées en PAL : Juin 2022 & concours estival familial

Hello tout le monde !

Décidemment, je n’arrive pas à tenir mes engagements liés à la régulation de ma PAL et à la planification de mes achats… Avec juin, c’est encore un mois qui part dans tous les sens. Mais cela s’explique – au delà de mes achats compulsifs – par le lancement du petit concours estival familial. La règle en est assez simple : Madame et les enfants contre moi. Celui qui a le plus lu à la fin de l’été gagne un cadeau. Un moyen de se motiver et aussi d’encourager les enfants – voire les adultes – à couper un peu les écrans ; l’an dernier nous avions même instauré un temps de lecture. Machiavélique, mon épouse a décidé de commencer ce mois, profitant de son rythme de lecture lié au page turner Blackwater. Ce billet servira donc aussi pour présenter les achats et lectures des enfants. Une explosion : 20 entrées au sein du foyer.

Donc, quels nouveaux livres en juin ?

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Chronique – Rêves de machines, Louisa Hall

Après avoir évoqué la relation IA/Humanité avec Le temps d’un souffle je m’attarde, je reprends une très vieille chronique d’un roman, voire un fix-up, qui traite de la même problématique mais peut-être d’une façon plus ouverte. Je pense qu’il faut que je me décide à lire Blade Runner, qui manque décidemment à ma culture. Rêves de machines était un achat spontané, en tête de gondole du Cultura d’à côté et j’en avais fait le (court) retour en décembre 2019.

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Chronique – Le temps d’un souffle, je m’attarde, Roger Zelazny

Roger Zelazny est plutôt connu pour ses œuvres inspirées par les mythologies, qu’elles soient grecques, indiennes, celtiques… Auteur très prolifique, qui a écrit dans tous les genres de l’imaginaire, il s’est aussi beaucoup intéressé à l’informatique : Deus Irae en 1976 (même si Dick y est sûrement pour quelque chose), 24 vues du Mont Fuji par Hokusai en 1985 et qui me parait compléter parfaitement le texte évoqué dans ce billet, ou encore la deuxième pentalogie d’Ambre avec la Roue Spectrale de Merlin à partir de 1986… et probablement de nombreux textes que je n’ai pas lu.

Dans cette novella de 1966, Zelazny imagine un monde post-apocalyptique, sous la surveillance de puissantes intelligences artificielles, dont une qui rêve d’humanité.

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Challenge S4F3 2022 – Short Stories of SFFF

J’ai évoqué il y a quelques jour le challenge Summer Star Wars avec une présentation du défi en lui-même et de la PAL que j’avais composée pour y participer. Depuis, j’ai vu passer un autre challenge, qui reprend l’esprit du Winter Short Stories of SFFF en se concentrant sur les formes courtes. La compatibilité entre ces deux challenges estivaux me permet d’y aller sans pression, d’autant plus qu’il n’y a pas de paliers. Je sais, il faut que je soigne mon côté jusqu’au boutiste. Je continue également à être surpris de mon revirement : j’ai longtemps dédaigné les formes courtes…

Bref, je participe à ce challenge pour solder une partie de ma PAL de novellas, qui a pris du volume, parce que le logo du challenge est trop cool, et parce qu’une marmotte qui joue à Terraforming Mars, c’est encore plus cool.

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Chronique – Lum’en, Laurent Genefort

Je termine la semaine consacrée à Laurent Genefort, avec Lum’en pour conclure. Sorti initialement en 2015, et donc plutôt récemment au regard de longévité de l’auteur (ce dernier posait d’ailleurs cet enjeu avec humour en interview), il est auréolé des prix Julia Verlanger, Rosny aîné et Grand prix de l’Imaginaire. Situé aussi dans la Panstructure, l’univers de l’auteur, il me parait être une bonne préquelle, ou suite selon votre ordre de lecture, à Colonies. Cette chronique a été publiée initialement sur Facebook, en décembre 2020.

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Chronique – Le sang des immortels, Laurent Genefort

Je poursuis la semaine consacrée à Laurent Genefort, avec cette fois-ci Le sang des immortels, qui était pour moi le premier contact avec l’auteur ; c’est aussi un texte relativement ancien, qui date de 1997 et publié à l’époque dans la mythique collection Fleuve noir. Il s’agit d’une chronique publiée initialement sur Facebook, en mai 2020 et le livre m’avait été chaudement recommandé par Arnauld Pontier.

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Chronique – Opexx, Laurent Genefort

Après avoir parlé de Colonies, j’ouvre une semaine consacrée au prolifique Laurent Genefort (et il y en aura davantage car j’ai le premier tome de Spire en PAL et que d’autres titres me font de l’œil), plus précisément à trois de ses textes. Le premier que j’évoque, Opexx, était un achat évident pour moi : j’ai déjà eu en effet l’occasion – les nombreuses occasions – de déclarer ma flamme à la collection Une Heure Lumière du Bélial. De surcroit, Laurent Genefort est en passe de devenir un de mes auteurs favoris, et il lui tenait à cœur d’intégrer cette aventure éditoriale qui a su s’imposer comme la référence des novellas.

Avec Oppex, l’auteur propose un texte qui pourrait ressembler, de prime abord, à de la « simple » SF militaire dans un contexte Space Opera mais qui se double surtout d’une réflexion sur le thème de l’altérité.

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Challenge Summer Star Wars – Obi-Wan Kenobi

Le challenge printanier, connu sous le nom de PIF, est terminé. Aussi, quand Elwyn a évoqué sur Twitter la PAL qu’elle prépare pour un challenge estival, j’ai été attiré comme Shai Hulud par les vibrations. Je l’avais déjà vu passer dans mes différents fils néanmoins je croyais, à tort donc, qu’il n’était consacré qu’à Star Wars, univers que j’aime bien mais sans être fan, et sûrement pas au point d’en lire des romans dérivés. Pour la petite histoire, je considère la trilogie La croisade noire du Jedi fou comme très médiocre et j’ai perdu de l’acuité visuelle – voire cognitive – après certains comics. Par contre, du Space et Planet Opera, je signe tout de suite. Je vous renvoie à l’incontournable blog d’Apophis et son article où il définit les sous-genres de la SF, dont les deux qui nous intéressent ici.

Après avoir été encouragé par Lhisbei, j’ai décidé de franchir le pas. Lire un peu plus de SF, et peut-être un peu plus « romanesque » que certaines de mes lectures récentes, me fait envie. Voici donc le règlement de ce challenge et la PAL que j’ai « composée » pour y participer.

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Chronique – L’héritière, Jeanne-A Debats

Après vous avoir parlé de loups-garous en milieu de semaine, je reste dans les créatures gothiques : garous à nouveau mais aussi vampire, ainsi que sorciers et créatures plus bigarrées. J’exhume donc une chronique publiée initialement sur Facebook, le 6 novembre 2020.

Habituellement, ce n’est pas tout à faire mon genre littéraire, et c’est un euphémisme. Quand le livre parle de vampires, de loups-garous, de sorcières, avec une love story de surcroit, bref de l’urban fantasy avec une romance, j’ai plutôt tendance à tourner les talons. Pourtant, les retours allaient au-delà de ces ingrédients, et la préface de l’auteure dans Chroniques du pays des mères me laissaient penser que je pouvais être séduit. Ce fut le cas.

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Chronique – Galeux, Stephen Graham Jones

Lire exclusivement du format de poche c’est être contraint à l’attente, voire à l’angoisse – hyperbole – que le livre repéré lors de sa sortie en grand format ne soit finalement jamais publié dans sa version miniature. Galeux faisait partie de ces livres, au point où je commençais sérieusement à ne plus attendre. Il faut dire que Steph, qui a le chic pour identifier ce qui peut me plaire, me l’avait bien vendu. Finalement, c’est dans un Bifrost que j’ai vu l’annonce tant attendue : l’édition poche, chez Pocket, avec en prime une couverture superbe, qui saisit parfaitement l’ambiance du récit.

Marraine avait raison, c’est un roman que j’ai trouvé excellent. Stephen Graham Jones arrive à rendre réaliste, presque crédible, le mythe du garou. Il ne s’agit néanmoins pas d’un récit d’horreur, ou alors juste un peu, mais plutôt d’une plongée dans les Etats-Unis des marges. Le récit se dévore – désolé – grâce à la maitrise et à la plume astucieuse de l’auteur.

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