Hello tout le monde !
Avec l’été approchant, je vous ai présenté un point sur ma PAL, pour un total de 63 livres au moment du billet, sans compter les achats de juin et livres lus ensuite. Or, j’ai dévoré en mai, avec par conséquent un potentiel d’achat élevé (toujours ma règle d’un maximum d’achat égal au nombre de livres lus le moins précédent, moins un) ; mais juin a été un mois calme en terme de sorties – et juillet/aout seront dans la même lignée -, quantitativement et en terme d’envies. J’en ai donc profité pour rattraper un peu les sorties des mois précédents, et acheter les suites des cycles que j’ai en cours.
Achats : les livres de poche – Romans
Upgrade de Blake Crouch est la preuve qu’une petite phrase peut suffire à déclencher un achat, ici « Si Michael Crichton avait écrit un roman de super-héros, ça aurait beaucoup ressemblé à Upgrade » d’arprès le NY Times… J’aime les super-héros, j’avais aimé Les Brillants de Marcus Sakey – j’y vois des similitudes – et surtout adoré Wayward Pines. Donc…
Résumé éditeur : Logan Ramsey a pour mission de traquer les labos clandestins à l’origine de mutations génétiques interdites depuis qu’une catastrophe a provoqué la mort de centaines de millions de personnes. Blessé au cours d’une opération en apparence banale, il s’aperçoit que son ADN a été modifié : ses capacités physiques et intellectuelles sont démultipliées. Logan est devenu différent : il a été upgradé. Emprisonné « pour sa propre sécurité », il réussit à s’enfuir. De chasseur, Logan devient chassé. Cherchant à découvrir l’origine de sa propre mutation génétique, il met au jour un complot mondial. Et si quelqu’un avait décidé d’upgrader l’humanité tout entière ? Peu importe que plus d’un milliard de vies humaines soient en jeu.
J’ai déjà lu Claire Duvivier avec son sublime Un long voyage et tout le monde m’a dit le plus grand bien de la double trilogie de La Tour de garde. En effet, j’ai beaucoup aimé le premier tome de Capitale du Sud, et j’ai suivi les suggestions de croiser les deux cycles. Voici donc l’arrivée en PAL de Citadins de demain, premier tome de Capitale du Nord, dont j’attends énormément.
Résumé éditeur : Amalia Van Esqwill est une jeune aristocrate de Dehaven issue d’une puissante famille progressiste. Dans le but de moderniser la ville et d’en chasser les dernières traces d’obscurantisme, ses parents lui ont offert, ainsi qu’à d’autres enfants de la citadelle, une instruction fondée sur les sciences et les humanités. Mais un jour, Amalia découvre que son fiancé a retrouvé la trace d’un ancien rituel magique, et qu’il est bien décidé à le reproduire.
Alors que la tension accumulée dans les faubourgs explose et qu’une guerre semble prête à éclater dans les colonies d’outre-mer, la magie refait son apparition dans la ville si rationnelle de Dehaven. Et malgré toute son éducation, Amalia ne pourra pas empêcher le sort de s’abattre sur ceux qui lui sont chers.
On hésite parfois un peu devant un livre. On regarde la couverture, on feuillette, on s’interroge… puis on le repose. Jusqu’à tomber sur un billet, ici celui de Nicolas Winter, qui finalement nous convainc d’acquérir le livre. Nous verrons si mon instinct premier était le bon…
Résumé éditeur : 2030. Cliff se rend en Sibérie pour poursuivre le travail de sa fille, récemment disparue. Dans le cratère de Batagaika, les archéologues étudient la fonte du permafrost et les restes parfaitement conservés d’une enfant, porteurs d’un virus inconnu qui va rapidement se propager et bouleverser la vie sur Terre.
À travers le temps et l’espace, ce fléau mortel obligera les générations suivantes à s’adapter, sans pour autant oublier leur capacité à réaliser leurs rêves les plus fous.
Dernier tome de la trilogie Braises de guerre, de Gareth L. Powell. En dépit de maladresses, j’ai bien aimé le deuxième tome, qui offre du space op’ spectaculaire qui fait du bien , et j’ai décidé de terminer les cycles plus rapidement. Un billet trilogie à venir !
Résumé éditeur : Et si la solution pour imposer la paix se trouvait dans une autre dimension ?
Alors que la civilisation humaine s’écroule sous les assauts de l’armada de Marbre, le Chien à Problèmes, malgré de nombreuses avaries, et son équipage, non moins épuisé, ont fait le vœu de sauver ce qui peut encore l’être.
Ils sont en route vers l’Intrusion, une région de l’espace où la réalité elle-même semble mise à mal. Le Chien y trouvera-t-il une arme susceptible de venir à bout de la dangereuse, et prétendument invincible, armada ? À moins qu’il ne reçoive de l’aide de Cordelia Pa, une jeune femme qui vit sur les Plaques, des plates-formes artificielles flottant dans l’espace et qu’elle est la seule à entendre chanter ? La survie de l’humanité repose désormais sur leurs seules épaules.
J’avais bien aimé, malgré quelques réserves, Quitter les monts d’automne. Je retrouve donc avec plaisir Emilie Querbalec pour Les chants de Nüying dont les éléments de quatrième me donnent encore davantage envie : des grosses bêtes et du transhumanisme ! De plus, ça me permet, après Claire Duvivier, de rebooster ma PAL côté autrices, qui en bien besoin…
Résumé éditeur : Il y a trente ans, la sonde Mariner a enregistré en provenance de Nüying, une planète située à vingt-quatre années-lumière de la Terre, des chants semblables à ceux des baleines. Obsédée par cette découverte, Brume est devenue bioacousticienne et s’apprête aujourd’hui à embarquer à bord d’un vaisseau pour un voyage de vingt-sept ans. Cette mission scientifique, organisée par le milliardaire Jonathan Wei, est aussi l’occasion pour lui de tester une technologie révolutionnaire, la Réincarnation Numériquement Assistée. Mais ce procédé, qui permet de numériser la conscience et les souvenirs d’un individu afin de les transférer dans un nouveau corps, est loin d’être sans risque.
Achats : les livres de poche – Novellas
Kim Stanley Robinson est un auteur que j’avais déjà tenté il y a fort longtemps avec sa trilogie martienne… dont je n’ai pas dépassé les 100 premières pages. Avec Histoire illustrée du XXe siècle, il semble proposer une novella à 1000 lieues de la Hard SF ; de quoi offrir une seconde chance donc, pour une collection que j’apprécie tout particulièrement.
Résumé éditeur : Frank Churchill, écrivain dépressif, accepte à contrecœur une commande démesurée : écrire un beau-livre sur l’Histoire du XXe siècle. À Londres, entre les murs de la British Library, il s’enlise dans les dates, les guerres, les ruines. Rien ne vient. Pas une ligne.
Dépassé, il quitte brusquement la ville en direction du Nord pour se lancer dans une expédition solitaire vers l’archipel millénaire des Orcades. Là, au bord du monde, dans l’austérité des paysages et le vertige du silence, une autre version de l’histoire s’impose à lui. Une nouvelle sur la mémoire, l’oubli, et l’envie de croire en l’avenir.
Achats : grands formats – Romans
Défense d’extinction a été un grand coup de coeur. Suffisamment pour vouloir continuer à lire du Ray Palmer, sans attendre une sortie poche – très improbable de toute façon – de La montagne dans la mer. Un résumé qui me fait très envie et qui fait étrangement écho au Chant de Nüying dont je parle plus haut. Peut-être la première chronique grand format sur Mondes de Poche ?
Résumé éditeur : Un mystère gît dans les hauts-fonds de l’archipel de Côn Dao…
Pour les Vietnamiens des environs, ce sont des monstres assassins.
Pour dianima, multinationale spécialisée en bio-ingénierie et en intelligence artificielle, il s’agit d’une opportunité sans égale.
Pour ceux qui ont la charge de percer ce mystère, c’est une révélation.
Mais trois choses ne font aucun doute.
L’esprit de ces créatures n’a rien à voir avec le nôtre.
Leur corps est doué d’une totale capacité de camouflage et d’imitation.
Et ils exigent que nous partions…
Et la surprise…
J’ai pris une année de plus il y a quelques jours et Cécilia m’a fait un cadeau. Elle me connait bien : elle sait que j’aime la SF, la maison d’édition du Passager Clandestin (je vous rappelle pour pour un de mes anciens ministres, je suis un islamo-gauchiste doublé d’éco-terroriste)… Mais la nudité ??? Euh, merci ?
Résumé éditeur : Dans sa collection Dyschroniques, le passager clandestin réédite la passionnante spéculation de James Blish : alors que la Terre est victime d’un important réchauffement climatique, et que la pollution a atteint un niveau incontrôlable, le Président Général de la Loge 802 de la Fraternité Internationale des Ingénieurs de l’Hygiène choisit une poignée d’hommes et de femmes pour partir sur la lune contribuer à une nouvelle ère humaine…
Objectif atteint, avec un livre acheté de moins que ce que je n’ai lu sur la période précédente. La PAL compte désormais 69 livres au total ! Beaucoup de SF qui entre, et surtout des auteurs anglo-saxons. Breaking News : 70 donc, car j’avais rédigé le billet avant de recevoir mon cadeau !
Et vous qu’a donné votre moi de juin ? Avons-nous des titres en commun ?
A bientôt !
Mondes de Poche 
Attention pour « Les Chants de Nüying », la quatrième de couverture ne reflète pas exactement le roman. Je préfère prévenir, ça peut surprendre, surtout pour les grosses bêtes qui n’arrivent pas avant longtemps.
« continuer à lire du Ray Palmer » : très joli lapsus. ^^
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Merci pour la précision.
Oui j’ai failli faire l’erreur des tas de fois elle celle-ci m’a échappé 😅
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Pas mal de titres repérés mais non lu, je vais donc compter sur toi 😉
Et même du grand format ! Surprenant ^^ J’avais d’ailleurs bien aimé l’univers de ce roman mais pas été pleinement convaincue non plus.
Bonnes lectures !
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