Entrées en PAL : avril 2025

Hello tout le monde !

La lecture plaisir est de retour massivement à mon agenda, et avec elle les activités qui en découlent : achats, discussions et billets de blog. Je reprends donc l’activité de ce dernier en vous présentant mes achats de ce mois d’avril ; hasards des rayons, envie de continuer – et même terminer – des cycles entamés, conseils et petits tours sur les sites des éditeurs pour découvrir les nouveautés du mois au poisson, œufs, et autres délices cacaotés et caloriques.

Pas de règles pour cette reprise, juste ce qui me faisait envie, avec un total de 7 entrées.

Achats : les livres de poche

Déambulation en librairie où j’apprends que le tome 3 est sorti. Farfouillage dans le rayon et découverte du tome 2… Donc deux achats dans la foulée, d’autant plus que je vous avais dit beaucoup de bien du 1er. J’ai déjà dévoré Le retour du Hiérophante et je me suis replongé dedans sans difficultés, en dépit des mois d’écart, et j’y ai pris du plaisir.

Résumé éditeur : L’une des quatre maisons marchandes de Tevanne est tombée. Sancia Grado et ses associés ont non seulement changé l’histoire de la cité, ils ont aussi créé Interfonderies, dans le but de démocratiser l’art magique de l’enluminure. Mais la jeune entreprise a beau accomplir des prouesses, celles-ci ne suffisent pas à la maintenir à flot. La concurrence est rude, et les grandes maisons marchandes sont prêtes à tout pour écraser Sancia et l’idéal qu’elle représente. C’est alors qu’une ancienne puissance vogue en direction de Tevanne : un hiérophante. Un adversaire qui connaît et maîtrise l’enluminure mieux que personne, fasciné en outre par Sancia et ses pouvoirs. Pour survivre à cette menace et sauver ceux qu’elle aime, la jeune femme devra percer le secret le mieux gardé de l’univers : celui des origines de cet art.

Le tome 3 donc, que je lirai très prochainement, avec un billet global à suivre. Les enjeux du récit sont élevés, les protagonistes puissants. J’espère juste que le côté un peu gritty – punk – sera encore présent et qu’on évitera un trop grand déballage pyrotechnique.

Résumé éditeur : Après avoir fait tomber les quatre grandes maisons marchandes de Tevanne, Sancia Grado, Clef et Bérénice mènent une nouvelle guerre, qui semble perdue d’avance. L’entité qu’ils cherchent à détruire, dont l’intelligence est répartie sur la moitié du globe, utilise la magie pour posséder les objets et contrôler les esprits humains. Malgré tous les efforts de Sancia et de ses alliés, cet implacable ennemi se rapproche de son but, une ancienne porte conduisant au cœur de la création. Leur ultime chance de survivre à ce combat  ? Réaliser le casse le plus audacieux qu’ils aient jamais tenté…

Roman recommandé par Steph. Spontanément, je n’y serais pas allé, tant le livre coche les cases répulsives pour moi : couverture qui ne me parle pas, pitch vu et revu, possibilité d’une ambiance très YA, début d’un cycle… Divergente ou Hunger Games version Soleil Levant ? Mais j’ai confiance, d’autant plus que je n’ai encore jamais lu de roman de SF japonaise. C’est toutefois un T1, donc la lecture attendra un peu…

Résumé éditeur : Mille ans après notre ère, le monde est en paix…

À Kamisu 66, une communauté rurale japonaise bâtie au cœur d’une nature luxuriante, les habitants vivent dans l’harmonie et l’égalité. Quant aux menaces extérieures, elles sont tenues à distance grâce au Cordon sacré.
Comme tous les adolescents, Saki et ses amis attendent avec impatience d’être initiés au jyuryoku, un puissant pouvoir psychique. Et si la réalité était plus sombre et plus inquiétante que celle qui leur a été enseignée ? Leur trop grande curiosité risque de mettre en péril cette fragile utopie…

La Fantasy est un genre qui a la facheuse manie de se décliner en sagas interminables, voire interminées (coucou Martin, Sanderson ou Jordan – j’ai honte, un peu). La production française quant à elle ajoute parfois le travers d’être servie par des auteurs issus du jeu de rôle qui enchainent clichés violents et machos – dingue comme ça va ensemble – et parfois sous forme de sagas… Avec L’âme du chien, j’attends une novella qui va me donner tort, me faire passer du parfois au rarement. Lecture proche et rapide en vue !

Résumé éditeur : Celui qui étreint l’âme du désert, qui chevauche et détruit les mondes n’a que peu de pitié pour ses ennemis et son peuple. Du haut de Salabanka, la ville dorée, il s’enorgueillit du destin que l’oracle lui a confié. Alors, quand la sibylle lui ordonne de trouver un bras droit, il s’exécute. Il lui faut un guerrier à l’âme de chien prêt à tout pour accomplir son avenir glorieux… Mais la prophétie est-elle réellement comprise par celui qui l’a reçue  ?

J’avais trouvé AfterTM très prometteur pour un 1er roman, aussi j’attendais le prochain livre d’Auriane Velten en poche. Avec Cimqa, paru initialement chez Mnémos, mon attente est comblée. La quatrième de couverture promettait un texte intimiste, avec de nombreux questionnements en vue, dont un titre intriguant. Je l’ai déjà dévoré, je vous en parle bientôt.

Résumé éditeur : Un matin, toute l’humanité perd l’équilibre. La Terre vient de s’ouvrir à une cinquième dimension : l’imagination, depuis laquelle il devient possible de faire apparaître momentanément n’importe quel objet ou créature imaginable. Tandis que la petite Sarah apprend à faire durer ces apparitions, son talent suscite l’intérêt d’une équipe de scientifiques.
Ailleurs, Sara travaille pour la plus grande entreprise de l’industrie du divertissement, qui a la mainmise sur un accès à l’imagination très réglementé, mais sa liberté de création est si entravée que l’anxiété la ronge. Les destins de Sarah et Sara s’écrivent autour d’une même question : la magie est-elle condamnée à ne devenir qu’une nouvelle source de pouvoir et de profit ?

Forcément, j’ai quelques UHL de retard. Aussi, je rattrape en commençant par les dernières sorties, histoire d’avoir aussi quelques nouveautés sur le blog – l’envers de la médaille de ne chroniquer que du poche. Une couverture très intrigante, une quatrième de couverture qui me ferait volontiers penser à un épisode de Black Mirror, et le plaisir de lire Mélani Fazi sur un autre auteur que Sanderson.

Résumé éditeur : Quelque part sur le Web. Aujourd’hui. 
Agnes Petrella et Zoe Cross discutent. Elles ne se connaissent pas ; elles ne se sont jamais vues. L’une a quelque chose à vendre ; l’autre pourrait être intéressée. Prétendument. L’une est aux abois ; l’autre est riche. Possiblement. Passent les jours, et, entre les deux femmes, une étrange relation se noue. Étrange, et bientôt dérangeante. Car Zoe a des envies, des propositions — qu’Agnes, contre toute attente, semble prête à écouter. Mais jusqu’où ? Et jusqu’à quoi ? Dans le désert du monde, l’impérieux besoin d’être aimé est le plus inépuisable des moteurs… et peut-être bien le plus terrifiant… Jusqu’où Agnes est-elle prête à aller pour mériter ses yeux ?

Un nom que j’ai croisé de nombreuses fois, sans savoir réellement qui est Serge Lehman et ce qu’il a fait. Une occasion donc de découvrir cet auteur à travers la réédition d’un texte qui frôle la trentaine. J’imagine une ambiance Club des 5 version imaginaire. Nous verrons ce qu’il en est.

Résumé éditeur : Banlieue parisienne, fin des années 70.
Ils sont quatre, réunis par une même passion pour la science-fiction, un goût pour l’évasion et les terrains vagues. Il y a Paul, la mauvaise graine, le plus âgé, charismatique et affublé d’un œil de verre. Et Mick, intrépide, vive comme l’éclair, aux réparties tranchantes. Et puis Francis, qui aime faire des blagues, fume comme un pompier et que son père bat comme plâtre. Et enfin Hugo, élevé par un paternel raide comme la justice, qui rêve de devenir écrivain. Ils sont à l’aube de l’adolescence. Ils sont la bande des Engoulevents. En ce début d’été, alors que l’ennui gagne et que l’Essonne cuit sous la canicule, entre parents dysfonctionnels et jeu des passions naissantes, les Engoulevents étirent les heures dans leur QG secret qui fait aussi office de bibliothèque interdite. Jusqu’à ce que l’imprévisible Paul mène ses compagnons dans une aventure qui les laissera changés à jamais, une métamorphose au risque de tout perdre, à commencer par ce merveilleux sans pareil qu’on appelle l’enfance…

Pas de Service Presse pour l’instant, j’attends de redémarrer la machine avant de recontacter les éditeurs. Concernant ces achats, pour une fois, les textes anglo-saxons sont minoritaires, et il y a davantage de Fantasy et Fantastique que de SF. Phénomène rare, et signe aussi que j’ai besoin de me détendre – ne voyez là rien de péjoratif. Quantitativement, c’est une PAL qui semble gonfler donc un peu mais vu que je dévore en ce moment, elle s’amenuisera peut-être légèrement au final. Courant juin, j’ai bien l’intention de reprendre le listing de cette fameuse pile et de refaire un point sur les cycles. Les vacances d’été seront propices à un dégraissage.

A bientôt !

12 commentaires sur “Entrées en PAL : avril 2025

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  1. Décidément, nous sommes nombreux à avoir connu une certaine baisse de régime ces derniers temps. En tout cas, de beaux titres pour une reprise : les Robert Jackson Bennett m’avaient bien plu. Tout comme Cimqa. Par contre J’avais eu plus de mal avec Du Nouveau monde (dont je suis en train de commencer la suite et c’est dur).

    Bonne reprise et beau mois de mai !

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    1. Bennett, le 3e est dans le tuyaux. Ça devrait être mon prochain ;). Si c’est du même tonneau que les 2 premiers, ça va le faire !
      J’ai bien aimé Cimqa aussi ; pas tout à fait un coup de cœur mais un bon livre.
      Pour Du nouveau monde, j’ai écouté Steph 😇

      Et oui, content d’être de retour et de croiser des gens sympas 😊

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  2. Ravie de retrouver tes chroniques. Manque de temps pour la lecture également…..j’ai lu CIMQA lors de sa sortie et j’avais beaucoup apprécié. De même que « As tu mérité tes yeux ».
    Pour Robert Jackson Bennett, j’ai dévoré la trilogies des Citées Divines, il va falloir que je me pense sur la série des maitres enlumineurs je pense

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  3. Bon retour parmi nous alors ! Je suis ravie de te revoir ici avec de si beaux achats en plus !
    Je suis une grande fan des Maîtres enlumineurs
    J’ai bien aimé Du nouveau monde même si je n’étais pas tout à fait le public pour ces bestioles
    Je lorgne sur L’âme du chien.
    Cimqa vient de rejoindre ma PAL comme Polyphème.
    Belles lectures ^-^

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      1. Comme toi j’ai déserté le blog pendant quelque temps… Bon retour 🙂 Très chouette de te lire de nouveau.

        As-tu mérité tes yeux me tente bcp. J’en ai lu de chouettes retours, il a l’air particulier et il semble qu’il faille bien s’accrocher parce qu’il est vraiment percutant.

        Les autres… J’ai détesté les maîtres enlumineurs dont j’ai pas dépassé le tome 1 (oui je sais tu as une impression d’avoir déjà lu ça qque part c’est normal ahah 😆).

        J’aime

      2. Comme toi j’ai déserté le blog pendant quelque temps… Bon retour 🙂 Très chouette de te lire de nouveau.

        As-tu mérité tes yeux me tente bcp. J’en ai lu de chouettes retours, il a l’air particulier et il semble qu’il faille bien s’accrocher parce qu’il est vraiment percutant.

        Les autres… J’ai détesté les maîtres enlumineurs dont j’ai pas dépassé le tome 1 (oui je sais tu as une impression d’avoir déjà lu ça qque part c’est normal ahah 😆).

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