Entrées en PAL : juin 2024

Hello tout le monde !

Mai a été un beau mois de lecture, tant en qualité que quantité, avec sept textes : cinq romans et deux novellas (Barbares et Au coeur des Méchas). J’ai donc intégré six ouvrages – en ne comptant que romans/novellas – à ma PAL, que vous avez peut-être déjà repérés si vous avez lu le billet où je fais un point global à ce sujet ; dorénavant, je pourrai donc faire le compte en fin de billet et mesurer les progrès, ou l’ampleur du désastre.

Achats : les livres de poche

J’ai déjà lu Ayerdhal il y a très longtemps, avec l’Histrion, dont je garde le souvenir d’un rendez-vous manqué. Des qualités évidentes, mais j’étais passé à côté. Depuis, j’ai un peu vieilli, il est temps pour moi de revenir vers un auteur phare de la SF française et cette récente réédition de Cybione – même si j’ai cru comprendre que ce texte n’était pas son meilleur – sera l’occasion de renouer le contact.

Résumé éditeur : Elle s’appelle Elyia et elle est parfaite, éternellement jeune. Elle est le dernier recours de son employeur, l’assureur Ender qui protège les constitutions de mille mondes, pour les missions suicide : elle renaît après chaque mort, identique mais privée d’une partie de sa mémoire. C’est un être unique et une arme de guerre, une cybione qui déjoue les machinations politiques interstellaires, mais qui sans cesse doit choisir entre son asservissement programmé et son goût pour la liberté…

La dystopie me fascine. J’apprécie notamment les anciennes qui en disent finalement davantage sur l’époque d’écriture que sur le futur et le thème de Kallocaïne (Karin Boye) me paraissait suffisamment neuf – pour moi – pour me plonger dedans. Je ne suis pas tout à fait certain par contre que ça aide à calmer mes angoisses actuelles…

Résumé éditeur : Dans une société où la surveillance de tous, sous l’œil vigilant de la police, est l’affaire de chacun, le chimiste Leo Kall met au point un sérum de vérité qui offre à l’État Mondial l’outil de contrôle total qui lui manquait. En privant l’individu de son dernier jardin secret, la kallocaïne permet de débusquer les rêves de liberté que continuent d’entretenir de rares citoyens. Elle permettra également à son inventeur de surmonter, au prix d’un viol psychique, une crise personnelle qui lui fera remettre en cause nombre de ses certitudes. Et si le rêve des derniers résistants, une mystérieuse cité fondée sur la confiance, n’en était pas un ?

J’ai adoré, c’est peu de le dire, Un long voyage de Claire Duvivier. Aussi, j’ai très envie de découvrir sa trilogie, Capitale du Nord… qui fait partie d’un autre cycle. On m’a conseillé de commencer par le première tome de Capitale du Sud écrit par Guillaume Chamanadjian, et voici donc Le sang de la cité qui arrive en PAL. Les retours sont tellement bons que j’ai hâte !

Résumé éditeur : Enfermée derrière deux murailles immenses, la cité est une mégalopole surpeuplée, constituée de multiples duchés. Commis d’épicerie sur le port, Nox est lié depuis son enfance à la maison de la Caouane, la tortue de mer. Il partage son temps entre livraisons de vins prestigieux et sessions de poésie avec ses amis. Après un coup d’éclat, il hérite d’un livre de poésie qui raconte l’origine de la cité. Très vite, Nox se rend compte que le texte fait écho à sa propre histoire. Malgré lui, il se retrouve emporté dans des enjeux politiques qui le dépassent, et confronté à la part sombre de sa ville, une cité-miroir peuplée de monstres.

Le tome 2 de Wayward Pines de Blake Crouch. J’ai adoré le premier, littéralement dévoré lors d’une lecture croisée avec Josepha Juillet. Et nous venons de commencer celui-ci : c’est toujours aussi bon et addictif !

Résumé éditeur : Bienvenue à Wayward Pines, 461 âmes. 

Nichée au cœur des montagnes Rocheuses, la petite bourgade revêt une apparence idyllique, si l’on oublie la clôture électrifiée qui l’entoure, la télésurveillance incessante et la puce électronique implantée de force à chaque habitant. Aucun de ces résidents ne sait d’ailleurs comment il est arrivé ici. Certains pensent qu’ils sont morts, d’autres qu’ils sont piégés dans une expérience scientifique et tous rêvent secrètement de s’échapper. Ethan Burke, le nouveau shérif est l’un des rares à connaître la vérité. Une vérité insupportable. Dès lors, comment libérer les habitants parmi lesquels se trouvent sa femme et son fils ?

Les grands formats

Je n’ai pas su résister à cette quatrième de couverture, d’autant plus que – novella oblige – ça ne sortira jamais en poche. Et puis, depuis que je bosse sur la France de l’époque moderne, j’ai un faible pour les fraises…

Résumé éditeur : « Je crois que vous n’allez pas beaucoup m’aimer. Je fais des choses terribles. À mes ennemis, à mes alliés, à moi-même. Dans la manœuvre, je sauve bon nombre d’inconnus (entre cinq et dix par semaine) du pire sort qui puisse frapper un être humain. J’aimerais dire que je me comporte ainsi parce que je fais partie des gentils, mais vous me perceriez aussitôt à jour. »Hourra ! La grande-duchesse d’Essen attend un fils. Quel dommage que le petit soit déjà possédé par un démon.

J’ai découvert Alastair Reynolds avec La Millième nuit qui m’avait fasciné par son Sense Of Wonder. Sentiment confirmé par Les Nuits de Belladone, dans le Bifrost 114, et toujours le même univers. Donc, quand celui-ci revient sous forme d’un roman, avec de très bon premiers retours, je ne pouvais que craquer…

Résumé éditeur : Ils sont la Lignée Gentiane, la Maison des Fleurs.Ils sont mille. Mille clones âgés de six millions d’années, tous issus d’Abigail Gentian et d’une époque où l’humanité n’était encore qu’à l’orée de l’ère stellaire. Depuis tout ce temps, ces fragments éparpillés parcourent la galaxie, spectateurs de l’aventure humaine à travers l’espace, là où empires et conquêtes fabuleuses se fracassent sur la noria du temps. Tous les deux cent mille ans, après un tour complet de la galaxie, les membres de la Lignée se réunissent pour échanger souvenirs et expériences. C’est la Millième Nuit, une fête sans pareille.Or, pour cette trente-deuxième réunion, Campion et Purslane sont en retard. Un détail ? Pas vraiment. Car dudit retard pourrait bien dépendre le devenir de l’ensemble de la Voie lactée, et peut-être même bien au-delà…

Les mangas

J’aime toujours découvrir les nouveaux shonen à la mode, pour être un peu à la page, mais aussi parce que c’est un genre qui me détend. J’ai donc tendance à prendre au moins le premier tome puis voir. Je l’ai déjà lu et j’ai trouvé ça sympa, très classique, mais avec une atmosphère urbaine intéressante et surtout un trait soigné, au chara design efficace. Je vous en parle plus longuement bientôt.

Résumé éditeur : Animé, coloré, saturé d’odeurs de plats savoureux, Gokurakugai a tout du quartier populaire par excellence ! Du moins… en apparence. Car les différentes populations qui s’y croisent et la nature de leurs activités en font davantage une zone de non-droit. Et quand le ciel s’assombrit, que les lumières des rues déclinent, Gokurakugai dévoile un côté obscur et hostile envers ses habitants. Face au danger, seul le “bureau des résolutions”, tenu par Tao & Alma, peut vous prêter secours ! Cette fois, leur mission consiste à aider un jeune garçon à retrouver son ami disparu. Tout porte à croire que cette affaire est liée à la multiplication de cadavres d’animaux sauvagement massacrés dans le quartier…

Une liste variée, avec des nationalités différentes, des ambiances de SF différentes, de la Fantasy… Une seule autrice malheureusement.

Quels sont ceux que vous connaissez, qui vous intéressent ? Et vous, qu’avez-vous acheté en juin ?

L’été étant plus calme en terme de sorties, je vous donne rendez-vous fin août, ou je ferai le total des deux mois chauds.

7 commentaires sur “Entrées en PAL : juin 2024

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  1. Non mais c’est nul « Le Sang de la cité », n’en attends absolument rien, c’est vraiment de l’argent gaspillé, tu n’y prendras aucun plaisir.

    (est-ce que je mens pour essayer de diminuer tes attentes et éviter une déception alors que j’adore ce livre et cette saga ? qui sait…)

    Content de voir un Ayerdhal en tout cas, même si je n’ai pas lu celui-ci. Par contre je peux confirmer que « L’Histrion » est particulier, j’avais eu du mal aussi, tous ses romans ne sont pas comme ça.

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