Entrées en PAL : décembre 2025

Bonjour à toutes et à tous,

Dernier billet des entrées en PAL pour cette année 2025 – et dernier billet tout court -, qui me voit donc revenir durablement à la lecture – on en reparlera courant janvier, pour le bilan. Décembre était un mois terriblement calme en terme de sorties, ce qui m’arrange quand je jette un œil sur les achats prévus de janvier, avec des entrées plutôt imprévues, mais de belles surprises en perspectives, entre textes inconnus et auteurs que je vais retrouver avec plaisir.

Ma PAL avait peu diminué en novembre avec seulement 4 sorties. Alors, équilibre ou pas ?

Les livres de poche – Romans & novellas (inédits en poche, saison 2025-2026)

Cette catégorie sert à classer les ouvrages qui sortent pour la première fois en poche, entre le 1er septembre 2025 et le 31 août 2026.

Il y a de cela plusieurs années, je m’étais mis en quête de groupes FB pour obtenir des conseils et suggestions de lecture, après plusieurs échecs retentissants quant à mes achats. L’objectif est largement atteint et je continue à faire des rencontres et aller de découvertes en découvertes. Ici, une nouvelle ME, une nouvelle autrice grâce à l’ami Vincent. Et que dire cette couverture, de ce résumé ? J’ai hâte !

Résumé éditeur : Eimi est un robot qui oublie.
Dans un monde qui ne répare pas ce qui est soumis à l’obsolescence programmée et qui abandonne ce qu’il a brisé, Eimi part en quête de ce qui pourrait enrayer la perte de ses données.
Mais dans quel monde pourrait-on célébrer la force qu’il faut pour accepter d’être faible ?

Auteur que je connais déjà, dont j’ai adoré l’incursion en fantastique (j’en cause ici), et surtout connu pour ses excellents polars. J’avoue avoir quelques réserves ici tout de même : les textes avec le mot « amour », c’est parfois promesse d’une romance sirupeuse. Mais il y a aussi l’élément de SF, et la question des souvenirs… Bref, à voir !

Résumé éditeur : Takashi et Tomohiko travaillent au sein d’une entreprise spécialisée dans la réalité virtuelle et mènent des recherches sur le cerveau et la mémoire. Un jour, Tomohiko présente à Takashi sa petite amie, Mayuko. Takashi est abasourdi : lorsqu’il était étudiant, il apercevait Mayuko tous les jours à la gare, dans le train d’en face. Sous le charme, il n’avait pourtant jamais pu l’aborder.
Des années plus tard, la voilà donc à nouveau devant lui, en couple avec son meilleur ami. Le trouble de Takashi redouble le lendemain, lorsqu’à son réveil, Mayuko s’affaire à préparer son petit-déjeuner et semble partager avec lui une évidente intimité. Comme s’il vivait dans deux réalités parallèles…

Un livre dont j’avais beaucoup entendu parler lors de sa sortie en grand format, avec une couverture qui m’avait marqué à l’époque. Ici, on a des tentacules. C’est bien aussi.

Résumé éditeur : Ismaël, naturaliste en mission pour Rome, se retrouve naufragé au beau milieu d’une mer chimique remplie de créatures mutantes. Aussi, lorsqu’il est secouru par l’excentrique capitaine du Player Killer, sous-marin capable d’affronter ces eaux acides, et ses Flibustiers déjantés, il ne peut pas exactement refuser. Le voilà donc pris en otage et embarqué dans des aventures qui risquent fort de compromettre sa mission.
Alba est Graffeuse, détentrice du savoir de l’humanité, même s’il est un peu confus dans sa tête. Presque une déesse, en somme. Un jour, elle est soudain arrachée à la solitude de sa grotte loin des mers pour être amenée devant la Métareine de Rome. Mais elle n’a aucune intention de se laisser faire.

Second titre de la maison d’édition Timelapse. Cette collection démarre tout juste et j’avais envie de ne rien avoir à rattraper si la ligne me plait, et de soutenir aussi l’initiative – j’ai déjà évoqué sur ces pages que les collection de novellas étaient tendance. Encore une quatrième que je trouve originale et intrigante, tout en soulevant des questions fondamentales.

Résumé éditeur : À l’heure où l’on installe les premières tombes connectées permettant de converser avec les personnes défuntes, Marie Février sera votre guide dans les allées d’un cimetière qui devient un lieu de vie et de rencontres, vous donnant à voir l’envers du décor, ses histoires d’amour, ses joies quotidiennes, sa langueur monotone.
Ce roman atypique nous interroge sur l’usage que nous faisons de la technologie, car, en créant des tombes qui permettent de conserver un lien avec les personnes défuntes, sommes-nous en train de repenser le deuil ou bien de seulement le repousser, pour plus de souffrance encore ?

Et une autre maison d’édition que je découvre, cette fois-ci grâce à Mioutou qui a été mon Santa des Mordus ! Deuxième choix, car son premier s’était porté sur Élise sur les chemins, preuve qu’elle a parfaitement cerné mes goûts, et elle a donc dû se faire un aller-retour à la librairie pour un échange. Dans tous les cas, une histoire de first nation, je prends ! Merci !!

Résumé éditeur : « Nous sommes le bout des doigts d’une force qui propulse les étoiles, alors fais ton boulot et ressens. »
Dans le Nunavut des années 1970, une jeune inuite grandit entre la glace et les aurores boréales. Elle fait l’expérience de l’adolescence, l’amitié, l’art du camouflage et de la survie. Elle connaît l’ennui et l’intimidation. Les ravages de l’alcool, la violence sourde, la menace des hommes, le courage d’aimer les petites peurs. Elle connaît le pouvoir des esprits.

C’est l’histoire d’une fille qui devient femme, en s’appropriant son corps, sa culture, sa voix.
Croc fendu chronique les jours terribles d’un village écrasé sous le soleil de minuit. Mêlant descriptions hallucinées et plongées intimistes, ce portrait d’une héroïne inoubliable nous pousse à reconsidérer la différence entre le bon et le mauvais, l’animal et l’humain, le réel et l’imaginaire.

Les grands formats

Une autre arrivée imprévue, puisqu’il m’a gentiment été offert par Anne-Laure. Alastair Reynolds est un auteur que j’ai découvert il y a peu, grâce aux éditions Le Bélial’ et qui pour moi le parangon du Sense of Wonder. Je vais picorer ces textes en espérant découvrir d’autres facettes de son talent ; mais s’ils renforcent l’opinion que j’ai déjà, ça sera bien suffisant !

Résumé éditeur : Depuis Mars, où l’émergence d’une nouvelle humanité ayant développé un esprit de ruche exceptionnel pourrait conduire au plus meurtrier des conflits, jusqu’au cœur des grands vaisseaux interstellaires où les lobots, humains condamnés à être décérébrés, ravalés au rang de machines esclaves, ne sont peut-être pas si dénués d’intelligence qu’on le croit, en passant par les entrailles mystérieuses de la Matriochka, un artefact si titanesque qu’il est doté de son propre champ gravitationnel, Alastair Reynolds dresse la plus merveilleuse des cartographies, celle d’un univers de science-fiction sans pareil, aussi inventif que vertigineux.
Ces seize récits en sont la quintessence… Et autant de chefs-d’œuvre.

On a failli avoir uniquement de la SF cette fois-ci. Je crois que ça m’étais jamais arrivé. Une majorité d’autrices françaises, toutes inconnues pour moi, et un seul auteur anglo-saxon. Le hasard total mais j’en suis content. Surtout, beaucoup de titres qui me viennent de la blogosphère, et ça me réjouit. En terme de total, cela nous donne : 68-4+6 = 70. On est dans la variation habituelle, même si on change de dizaine… On verra ce que donne 2026, avec de très hypothétiques bonnes résolutions.

Et vous qu’avez vous acheté ? Avons-nous des titres en commun ?

A bientôt !

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